Bizzare Creations a fait trés fort !Une introduction pour un jeu de courses ce n’est pas toujours évident. On ne sait pas toujours par ou commencer. Mais une chose est certaine, en tous cas en ce qui me concerne. C’est lorsque je joue à un jeu de voitures, automatiquement je me met à penser sur des jeux comme la série Gran Turismo. Il y a rien a faire, j’ai toujours un bon Gran Turismo en tête, et ce n’est pas avec Gran Turismo 5 que cela va s’arranger. Mais pourquoi je vous parle de lui ? Régulièrement les concurrents aiment a mettre des concurrents face à Gran Turismo, d’ailleurs ils ne sont pas tous sortis indemnes (une petite prière pour Sega GT) ! Le fait est qu’ont a beau de comparer divers titres au maestro, fait est t’il que chaque fois les deux titres en concurrence ne courrait pas dans les mêmes lignes. Gran Turismo c’est de la simulation, dans ce domaine faut dire qu’il y a pas forte concurrence, tandis que des jeux d’arcade ils en existent un paquet. Mais avec tout ça je finirais presque qu’a vous parler de Gran Turismo, alors que le sujet qui nous intéressent ici, est le test du dernier bébé de Bizzare Creations, j’ai nommé Project Gotham Racing 4 en Xbox 360. Il nénamoins (a mon sens) important de refléter cette manie qu’ont les gens de faire des comparaisons. C’est donc inutile de comparer un Project Gotham avec un Gran Turismo, ils n’ont en commun que le fait qu’il s’agit de jeux de courses. PGR 4 c’est de l’arcade voilà qui fallait qui soit dit. Allez, vroum vrom on entre en piste ! Magnifiquement vôtre Ce n’est un secret pour personne : Project Gotham Racing 4 est en exclusivité sur Xbox 360 et, au même titre qu’avait su le faire son prédécesseur, ce nouvel opus tire profit des capacités extraordinaires de la console. La série a su s’imposer au fil des années comme une très bonne alternative à Gran Turismo, bien que ce ne soit pas (comme je l’ai déja dit) exactement le même genre, et la fine équipe de Bizarre a toujours su créer quelque chose d’exaltant. L’équipe s’est d’ailleurs agrandie et, grâce au soutien de Microsoft, peut enfin sortir le jeu caisses dont elle rêvait. On retrouve donc tous les bons ingrédients du précédent volet, notamment le système de kudos, avec évidemment quelques nouveautés histoire de pousser le réalisme encore un peu plus loin. Les tracés vont devenir une nouvelle référence du genre, avec un vrai travail de fond pour reconstituer à l’identique des environnements existants. Le terme « photo-réaliste » semble avoir été créé pour ce jeu, en fait. Les effets de transparence, le ciel, les immeubles… tout cela est superbe et très vivant, et géré en temps réel, bien sûr. Pour la première fois, les villes ne sont d’ailleurs plus désertes et on retrouve de nombreux spectateurs dans les tribunes, qui réagissent en fonction de vos performances au volant. Cependant, je les trouve toujours un peu statiques, pas très naturels et trop scriptés, comme si on les obligeait à se lever. Quant aux véhicules, ils bénéficient, grâce à la puissance du support, d’un rendu graphique ébouriffant, avec en prime une vue cockpit très réaliste. C’est peut-être un détail pour certains, mais je vous assure que c’est très immersif de conduire avec derrière le tableau de bord, de tourner la tête et d’admirer les reflets sur les vitres. Un vrai fantasme. Souriez, vous êtes filmés Concernant le mode réseau, auquel j’ai pu m’essayer durant de nombreuses heures, à tel point que j’étais carrément accro, il se déroule par l’intermédiaire d’une fausse chaîne de télévision. On y trouve des news ainsi qu’un classement des meilleurs pilotes. On peut même écrire ses propres news, consultables ensuite par d’autres joueurs. Il est également possible d’assister à des courses sans y participer, un peu comme si vous regardiez un Grand Prix chez vous. Ca n’a pas une grande valeur en soi, mais c’est toujours un petit bonus sympathique qui donnera peut-être des idées aux développeurs. Il est décevant par contre de ne pas pouvoir personnaliser son véhicule, ce qui est toujours sympathique pour épater la galerie. PGR4 mise plutôt sur des tracés réalistes et des règles strictes. Le système de progression a cependant été revu, et j’ai été surpris par tant de simplicité. C’est simple, ce nouvel quatrième opus est beaucoup plus simple. Facile, voire même un peu trop facile, peut-être pour plaire à un public plus large. Vous pouvez donc être certain que, bon ou mauvais joueur, vous finirez par débloquer des bonus sans être obligé de ramer comme un malade. Si vous doutiez de la différence entre ce qui se fait sur les consoles antérieurs et sur Xbox 360, jouez un peu à ce Project Gotham Racing 4. Le jeu cloue le bec aux mauvaises langues, et les quelques effets de flou que l’on peut apercevoir sur certaines images sont en fait dus à l’impression de vitesse, qui rend d’ailleurs le jeu plus intense que jamais. Vous pouvez également à tout moment pendant le jeu mettre pause et aller dans le menu « Photographie », qui permet de faire évoluer une caméra sur le circuit afin d’en admirer tous les détails, mais aussi de changer quelques paramètres pour le Xbox Live en prenant des photos de vos exploits. Que du fun Pour les férus d’automobile, sachez qu’il est possible entre chaque course d’aller admirer les véhicules débloqués dans votre garage. Et puisqu’on parle de garage, sachez qu’ils n’ont pas fait les choses à moitié. Ca peut paraitre bête, mais je n’ai jamais un aussi garage dans un jeu de voitures. Il est superbement modélisé, avec des angles de caméra bien sympathiques et de nombreux effets. Au-delà de ce petit plaisir graphique, on a aussi le luxe de piloter de grandes marques comme Porsche ou Lamborghini, d’autant plus que chacun de ces véhicules est fidèlement reproduit, avec les vrais bruits de moteur. Encore plus complète que PGR3, cette nouvelle édition est un très bon investissement. Une bonne vitrine des capacités de la Xbox 360, le jeu est très plaisant en solo, et vous deviendrez rapidement dépendant au mode Xbox Live. Quelques petits reproches cependant, le jeu manque un peu de couleurs, et les dégâts ne sont pas gérés, ce qui fait mal pour le réalisme. Mais bon, il ne faut pas oublier que la série reste un compromis entre arcade et réalisme pour plaire à un certain public. On progresse a notre rytme Est t-il besoin de continuer ? Arriver à un moment il y a plus de mots à dire sur un jeu pareille, juste une envie que d’achever très vite ce texte pour y retourner jouer. Faire encore plus beau que l’était déjà PGR 3, il fallait le faire. Décidément ils n’ont pas fini de nous étonner, c’est moi qui vous le dis. Bon c’est pas parfait sur certains points, tout d’abord c’est vrai que c’est super simple a progresser. Mais est ce vraiment un problème ? Moi je dirais que non ! Personnellement je n’ai jamais apprécier le principe qui consiste a nous lancer des défis, que si on les exécute pas correctement, impossible de progresser dans le jeu. C’est heureusement pas le cas dans PGR 4, que j’approuve totalement leur conception de progression dans ce jeu, qui est ce qui est, bon ou mauvais joueurs, vous progresserez quand même. On est bien loin de jeux élitistes sur lesquels il faut conduire à la perfection. Rien que pour ça, PGR 4 est plaisant à jouer. |
Verdict |
+ Les plus- Les moins+ La vue cockpit + Superbe public + Trop beau- Ca manque de couleurs – Dégâts non gérés – Les adversaires ne font jamais de fautes |
Le mot de la fin |
Quoi, vous en voulez encore ? bob bon, puisque vous insistez ! Pour finir, ce n’est pas tout ça, mais moi j’ai une partie qui m’attend. Ceci étant, PGR 4 est à ce jour le plus beau jeu de courses au monde, loin d’être une prise de tête, tout se commande avec douceur. Aucun problème de maniabilité donc. Jouez un peu comme moi à fond, et vous verrez qu’on y prend goût. Avant j’avais dans ma tête lorsque on me parlait de jeux de voitures, un certain Gran Turismo. Ajoutez maintenant Project Gotham Racing 4. Décidément, je crois qu’il faut qu’on me soigne. |