Fire Emblem : Path of RadianceVous êtes Ike, un apprenti mercenaire. Votre père Greil est à la tête d’un groupe de mercenaires. Leur travail consiste à rendre des services payants aux différentes roi, gouverneur etc… Le groupe de mercenaire vit à Criméa sur le continent de Tellius. Mais un jour, Criméa est envahit par Daien. Greil s’efforce à faire de la résistance face à l’envahisseur et va tenté le tout pour le tout de savoir qu’elles sont les motivations qui ont poussé Daien a envahir Crimea. C’est ainsi qu’une grande aventure va commener ! Une recette qui marche Nous allons maintenant abordés le coeur du jeu, le gameplay. Ce dernier est toujours le même que dans les épisodes précédents. Comme tout bon tactical-Rpg qui se respecte, Fire emblem arbore un système de combat qui peu paraître simple au début mais qui devient vraiment très efficace par après. A noter que les différentes armes ont leurs points faibles et fort. Par exemple, l’épée sera avantagée face à la hache mais désavantagée face à la lance. Une sorte de triangle qui est présent depuis quelques épisodes et qui ajoute une touche encore plus tactique au jeu. Mais il faut aussi faire attention car une fois que vos persos sont morts au combat, ils ne reviendront plus ! Ça ajoute encore plus de suspense aux parties. La seul véritable nouveauté dans cet épisode, c’est qu’on peut bousculer. Pas très réjouissante comme nouveauté. Mais ne boudons pas notre plaisir, au fil du temps, Fire Emblem a su construire un système efficace et dans cet épisode, il est a son apogée. Donc IS ne prend pas beaucoup de risques de ce côté là. Une première ! Une autre nouveauté, c’est que c’est la première fois que la série est en 3D. La cinématique en mige de synthèse cell-shadé donne le ton…Mais un fois sur les champs de batailles c’est autre chose. Les personnages sont toutes en polygone et n’ont pratiquement aucun détail sur leur visage. C’est simple, on se croirait revenu sur PSone. Les décors sont du même acabit, seul les artworks lors des scènes de dialogues relèvent un peu le niveau. Le character designer est de toute beauté ( dommage qu’il garde l’anonymat ) et les persos sont tous charismatiques ( même les méchants ). Bref une réalisation vraiment décevante et quand on voit de quoi est capable la Gamecube ( Zelda, RE4 ), on s’en mord un peu les doigts. Quand est-ce qu’on arrive ? Les graphismes sont peut-être laid mais ce n’est pas ce point qui fait la force de ce Fire Emblem, c’est surtout son système de combat et sa durée de vie. Pour espérer voir le bout des 29 chapitres, il faut compter plus ou moins 30 heures !( du très bon pour ce genre de jeu ) Surtout qu’il faut pas oublié que la difficulté devient croissante au fur et à mesure que vous avancez dans le jeu. Je conseille à tous les néophytes de commencer une partie en mode facile pour ne pas trop galerer par la suite. Bon ou pas bon ? Bon même très bon grâce à une énorme durée de vie ainsi qu’un système de combat qui a déjà fait ces preuves au fil des épisodes. mais attention, il faut avoir une très grande patience car vers la fin, les game over sont très très fréquents dû à une difficulté mal dosé. mais malgré ces quelques désagréments, FE s’impose comme le meilleur des meilleurs RPG de la console et surtout qu’il y en a peu qui sortent sur la console de Nintendo ! |
Verdict |
+ Les plus- Les moins-Durée de vie -Système de combat -le charisme et la psychologie des différents persos-graphismes -bande de son pas |
Le mot de la fin |
Malgrés une réalistion 3D inégale et une bande son inéxistante, Fire Emblem Path of Radiance s’impose comme l’une des meilleurs rpg de la console grâce à son système de combat et à sa durée de vie colossale pour un T-RPG. |