Resident Evil Code Veronica X le retour des mort-vivants…Souvenez-vous, le deux février 2000, la série Resident Evil (Biohazard) faisait ses premiers pas sur la Dreamcast en exclusivité «temporaire». Ce fut une vraie révolution dans la série, car on quittait la petite contrée du Middle West pour une île, celle de la famille Ashford. Vers 2002, le jeu fût adapté pour le plus grand plaisir des fans de la série sur la Playstation 2 sous l’appellation de Resident Evil: Code Veronica X. Le X nous fait pensée à la série Street Fighter avec ces longues déclinaisons comme Alpha trois X Plus etc. tout ça pour quelques bonus supplémentaires. Et pour finir ce petit historique, un autre portage fût réalisé sur Le Nintendo Game Cube en 2003 et rééditée en 2006. Ce portage sera-t-il à la hauteur, vous le saurez dans le test. L’histoire Cela fait trois mois que Claire a disparu, après les événements de Biohazard 2. À cette période, elle trouve un mémo, sur lequel il est écrit « CONFIDENTIEL : PHASE 1 – RACCOON CITY – TEST COMPLET. PHASE 2 – ETABLISSEMENTS DE RECHERCHE DE PARIS OPERATIONNELS ». En décembre 1998, elle se rend à Paris et s’infiltre dans les locaux, espérant trouver des indices qui l’aideraient à retrouver son frère. Malheureusement elle est repérée puis arrêter et elle est envoyée sur l’île des Ashford… Le début d’un nouveau cauchemar… Portage quand tu nous tiens… Comme je l’ai dis précédemment, le soft de Capcom n’a rien de très novateurs. Le minimum de nouveauté n’en font pas une galette très novatrice et indispensable. Les nouveautés formaient de trois cinématiques, d’une nouvelle coupe de cheveux pour le jeune Steve et deux nouvelles photos pour le mode Battle ne vaut pas la somme de soixante euros. Le «mode battle», fait aussi parti du voyage. Comme pour la version Dreamcast, ce mode déblocable, vous propose de jouer avec Chris, Claire et Claire relookée, Steve et Wesker. Ce mode nous rappelle étrangement Resident Evil Nemesis avec son niveau « Mercenaire». Le but est simple, une fois votre protagoniste choisit ainsi que la vue (normal ou à la première personne «First Person Shooter») vous devrez surmonter de nombreux danger pour atteindre votre but en un temps limité. Une fois ce mode terminé, vous recevrez un classement, celui-ci vous permettra de débloqué quelques secrets comme un magnum, un spray, un journal (celui de D.I.J.)etc. Comme tous les portages, les graphismes ne sont pas correct pour les deux consoles. Les personnages n’affichent aucune vitalité, les décors sont corrects, malgré la pixellisation des fumées, des flammes. On peut noter la présence de lieux proches du premier opus, comme le hall du manoir fictif, le couloir à la statue de tigre. La jouabilité est statique, malgrès la possibilité de se retourner en appuyant sur la flèche du bas et le bouton pour courir (idée prélevée du troisième opus) et la possibilité de tenir deux armes comme la mitraillette. La bande-son est magistrale, elle nous plonge dans un monde angoissant et surprenant. L’exemple le plus frappant, c’est celui de l’attaque du ver géant (sans doute prélevéedu film d’horreur TREMOR). La durée de vie est suffisante pour le genre. Il faut compter une bonne dizaine d’heures pour tout découvrir. Pour conclure, le jeu est un portage assez décevant. Car le jeu a très mal vieilli, donc il a perdu un peu de sa superbe. Cette version dite de rattrapage, pourrait décevoir les fans du hit de Capcom. Malgré, cela, le jeu pourra ravir les néophytes et les nouveaux fans de la série. |
Verdict |
+ Les plus- Les moins- Le premier opus a utilisé la 3D en temps réel – L’histoire et ces nombreux coups de théâtres – La diversité des décors- le prix 46€ – le manque de nouveauté entre la version dreamcast et les versions NGC et PS2 |
Le mot de la fin
Un jeu à reserver au fans de la série, pour les autres passez votre chemin…